L’énergie de l’enfer

L‘énergie de l’enfer trouve sa matrice dans de hautes fréquences de la lumière émise par le Soleil, les rayons X (juste sous les rayons gammas reservés à la conscience divine).

Elle est physiquement, électriquement parlant, inverse à la matrice porteuse de vie, soit toutes les couleurs de l’arc en ciel, les rayons gammas et les infra rouges…

Le plus grand souhait de l’énergie de l’enfer est de se sentir mal, très mal, d’être sur le chemin de la mort ou de la répandre.

Elle se réjouit et se renforce de la peur ou la haine qu’elle diffuse et reçoit.

C’est comme un trou qui tire vers le chaos puis le néant. Elle se nourrit elle-même quand elle dresse les humains les uns contre les autres.

Dans les guerres, elle est facilement discernable quand elle provoque des atrocités.

Tout comme l’énergie porteuse de vie qui a ses âmes, ses anges, ses gardiens de lieux et autres entités, l’enfer est habité d’innombrables consciences : Démons, monstruosités et personnages perverses, suppliciés, âmes terrorisées, soumises, souffrantes ou qui rient de la détresse, de l’extinction de masse…

Leur présence aux côtés de l’âme lumineuse des humains pousse à de mauvaises pensées et actions. Nos âmes sont donc duelles et se fatiguent entre elles. Les corps sont éprouvés et vieillissent plus vite.

Dans les vies quotidiennes normales, elle est plus retenue et développe d’autres stratégies pour refroidir les cœurs les uns envers les autres : le dégout de soi-même ou du voisinage, le plaisir de voir souffrir, les moqueries blessantes, les arrogances, manipulations perverses, séductions déroutantes ou semant la discorde, les abrutissements, la mal-bouffe, la peur, la soumission, les angoisses…

Du point de vue des consciences de l’enfer, c’est un besoin énergétique, une nécessité de survie de vibrer ces émotions là.

Cette énergie n’a parfois atteint que récemment des peuples racines isolés. Ils ne connaissaient pas par exemple la possibilité de mal s’aimer.

L’origine de l’enfer est raconté dans la légende de Mithra : Le grand corps du taureau, métaphore de l’énergie lumineuse du soleil, est blessé au couteau au niveau du cou. Mithra représente l’âme de St Michel qui à amené cette idée d’un monde éprouvé par l’enfer.

Les âmes, aussi dans l’invisible, se retrouvent parfois coupées de la Source. Le symbole de la Croix représente cette coupure horizontale dans le spectre lumineux du soleil, tout comme la blessure au cou du taureau.