L’éther est un océan de lumière présent dans l’espace, même sans matière, et de plus en plus dense à la proche des feux de lumière que sont nos étoiles ou les magmas des planètes.
Mais à l’échelle de nos explorations terrestres et spatiales, il est si uniforme et neutre électriquement parlant qu’il fut oublié du monde scientifique après la moitié du vingtième siècle.
Il ne pouvait se prouver et semblait pas nécessaire dans les calculs.
La simple notion de gravité pouvait expliquer la rotation des planètes autour du soleil, déduire la masse du soleil et du coup sa composition atomique…
Pourtant, au delà de notre système solaire, les scientifiques reconnaissent “la masse manquante” dans les calculs.
Selon le mouvement des étoiles et galaxies entre elles, il devrait y avoir plus de masse atomique, plus de gravité…
Il semblerait qu’il manque la force de la poussée éthérique, du vent de lumière ou vent solaire. La Terre aussi possède sa propre force éthérique qui entraine un magnétisme qui repousse et protège des particules solaires (sauf sur les pôles et cela forme les aurores boréales).
Les forces face à face de la Terre et du Soleil se repousseraient constamment dans une force très régulière. Le soleil serait en fait plus lourd qu’il n’y paraît ce qui rétabli l’équilibre que nous connaissons aujourd’hui.
C’est-à-dire que si nous considérions la nouvelle donnée de la poussée des lumières, les planètes seraient éjectées, mais si le soleil est plus massif, cela ramène à l’équilibre.
Dans l’espace, les étoiles étant très lointaines les unes des autres, la poussée lumineuse est faible et la gravité que nous connaissons dominante très majoritairement.
Il semblerait que l’éther, présent autour des noyaux d’atomes et dans l’espace soit composé d’énergies “gonflantes” qui se repoussent entre elles, comme de l’antigravité et que les noyaux d’atomes comme les trous noirs soient composés d’énergies “aspirantes” qui s’attirent entre elles et donne la force de la gravité.