La terre ne portait qu’un seul grand continent, la “Pangée”.
Dieu Soleil, dans sa capacité à orchestrer les planètes et diriger des astéroïdes décida de le séparer et former plusieurs continents.
De grosses collisions de météorites face au continent ne sont pas favorables à leur écartement car le magma terrestre n’entraine pas de très bons mouvements. Cela peut faire des trous mais pas un grand mouvement d’ouverture.
Par contre, des frappes bien orientées par l’opposé du globe déclenchent une onde de choc qui se propage à travers le magma et le noyau au point de d’écarter le vieux et unique grand continent.
Prenez un globe terrestre et pointez du doigt le centre de l’Antarctique pour imaginer l’écartement qu’il a engendré de l’autre coté, au pôle nord.
De même pour l’Australie, son opposé tombe au milieu de l’Atlantique nord.
Le mont Uluru, plus grand monolithe connu du monde, au centre de l’Australie, est bien un reste d’une immense météorite qui à percuté la Terre. Tellement immense qu’elle s’est enfoncée dans le magma avant de ressortir à la surface de l’écorce terrestre comme le fait une goutte d’eau (animation de la page du temps).
Les aborigènes d’Australie portent la connaissance que ce géant est à l’origine de notre monde. Au lieu de former un trou, une île grande comme un continent est née : l’Australie.
On peut imaginer qu’il existe une autre météorite monolithe cachée sous la glace au centre de l’Antarctique…
On peut imaginer que ces deux cataclysmes furent imposée à la Terre-mère sans qu’elle ne puisse rien faire pour s’y opposer et que pratiquement toute la vie de matière animée fut détruite.
Toutes les âmes qui animaient des êtres de chair ont du être terrifiées d’une telle décision, quittant leur corps physiques dans l’extinction de leur paysages et de toute forme de vie terrestre.
L’idée d’un monde nouveau, formé de peuples d’humains séparés, de langues différentes, de climats et paysages différents devenait plus intéressant.
Le grand cataclysme prochain généré par le basculement planétaire permettra de sculpter à nouveau les îles et continents, avec des paysages adaptés aux besoins du monde suivant.