Des rêves pour dépasser nos peurs

Il est temps :

De dévoiler la lumière invisible qui orchestre ce monde.

De discerner l’énergie de l’enfer qui nous éprouve.

De relier les âmes lumineuses réparties dans toutes les cultures et milieux.

D’oeuvrer pour se préparer à la grande transition et au monde suivant.

Une infinité de nouveaux rassemblements joyeux et créatifs sont possibles et accessibles à tous ceux qui osent :

Les aventuriers du monde suivant

 
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Les idées sont infinies et chaque action en amène d’autres…

Pleins d'idées ! ..... Plein de rêves ! ..... Plein de projets ! ..... Plein de rencontres ! ..... Plein d'aventures ! .......

Pleins d'idées ! ..... Plein de rêves ! ..... Plein de projets ! ..... Plein de rencontres ! ..... Plein d'aventures ! .......

  • Rassemblons nous avec la plus grande diversité de gens possible, du moment qu’il y a la volonté de cheminer vers la lumière intérieure. Ecoutons les vécus et ressentis de chacun sur des liens avec l’invisible pour entrevoir et comprendre tous les possibles des mondes de lumière.

  • Beaucoup de lieux sont abandonnés ou sous utilisés. Au départ d’un vieux château, d’une vieille usine, d’anciennes carrières, d’un village perdu, d’une ferme abandonnée ou bien de chez quelqu’un qui ouvre son terrain, tout est possible. Essayons de faire intelligemment avec l’existant, en recyclant, en bricolant en chantiers collectifs inventifs, multigénérationnels et multiculturels. Entraînons nous à l’autonomie et à être souple et polyvalents ! Ce sont de grands lieux d’apprentissages !

  • Sortons vivre et dormir dehors, rencontrer toutes sortes de paysages, faune et flore que nous offre la planète. Rentrons dans leurs espaces temps : la vie d’un arbre ou d’un insecte… découvrons les esprits qui les animes. Méditons sous les étoiles, jouons de la musique en harmonie avec les sons de la nature. développons des camps, bateaux ou engins roulants ingénieux adaptés aux paysages et leur climat.

  • De nouvelles armadas de joyeux bateaux de toutes sortes se déplacent de pays en pays. On peut tout imaginer de la petite barque jusqu’aux portes containers transformés en ville flottante foisonnante de créativité et de rencontres de tous pays ! Des sortes de cités de cabanes fantastiques flottantes comme de nouvelles îles…

  • Mettons la main dans la terre, découvrons toutes les nuances de sols possibles et ce qui peut pousser dans chacun d’eux. Que nous enseignent les plantes et arbres sauvages spontanés ? Enrichissons les sols par nos composts, la vie des animaux, choisissons des plantes et des arbres adaptés au terrain pour se nourrir. Soyons nombreux à jardiner pour stimuler la joie et aller vite sans efforts. Vivons et mangeons local, avec le plaisir de se sentir relié au vivant.

  • Découvrons les liens conscients possibles avec les arbres et tout le terrain de jeu et de vie qu’ils proposent si on se lie d’amitié avec eux. Apprenons à prendre confiance dans nos gestes en se déplaçant dans les hauteurs. Les arbres peuvent accueillir protéger et aider dans leur aura. Ils sont comme des gardiens de la vie luxuriante qui les entoure.

  • Les planètes sont de grands esprits très anciens qui ont leur influence sur la vie terrestre. Chaque humain à ses spécificités et il doit bien y en avoir qui sont très reliés à certaines planètes. A travers eux, on pourrait les découvrir, les comprendre entendre ce qu’elles ont à partager.

  • Mélangeons les styles de musiques et instruments, l’acoustique à l’électronique, tentons beaucoup d’improvisations qui laissent parler nos âmes. Offrons la musique sans compter, en plein air, sans barrières.

    Favorisons l’expression musicale de chacun, invitons nous sur la scène… Devenons chanteur, musicien ou danseur quelques soient nos capacités…

  • Comprenons la raison des guerres et du manque d’harmonie. Pardonons les gens qui ont sombré dans de mauvaises pensées et actions en donnant une chance pour qu’ils retrouvent leur lumière originelle.

    L’ouverture du pardon, avant même la reconnaissance d’une faute par les autres personnes, les aide à se livrer à dévoiler la vérité.

  • Développons l’écoute active de nos vies respectives, l’empathie… se livrer et être entendu est un grand début d’un chemin de guérison. Faisons nous confiance dans nos capacités à aider. Apprenons avec celles et ceux qui ont déjà bien expérimenté et développé des méthodes, des idées, des médecines. Marions les savoirs. Osons la rencontre intérieure de nos souffrances, qui parfois remontent à des vies passées pour devenir le médecin de nos âmes.

  • Proposons de nouveaux rassemblements, de nouvelles manières ou dans de nouveaux lieux. Peut-être dehors, comme si nous n’étions plus chez quelqu’un mais avec tout, sans barrières. Ce sentiment peut quand même se vivre et se partager dans des lieux très clos, la liberté peut se vivre dans nos consciences.

    Tentons des rassemblements plus spontanés pour s’adapter aux changements ou idées de dernières minutes, ou à la météo.

  • Les sociétés nous poussent souvent dans une seule activité alors que nous sommes naturellement conçu pour être très polyvalents. Entraidons nous à réapprendre, à ne pas avoir peur de débuter, à ne pas se juger. Arrêtons de dire qu’il n’y a que des spécialistes pour faire telles ou telles actions, tout peut s’apprendre.

    Mais comprenons et gardons le plaisir d’être complémentaires en étant plus ou moins efficace dans chaque domaine.

  • L’étranger offre un regard qui donne beaucoup de recul sur ce que nous vivons. Il vit est sait que d’autres choses existes ailleurs et sont possibles. Ce regard peut aider, ouvrir l’imaginaire, apporter de belles histoires et témoignages.

    Mais l’étranger peut aussi avoir besoin d’aide, être perdu, faire de son mieux pour ne pas déranger et aider ses hôtes. Peut-être est ce lui qui a besoin d’un nouveau regard, d’une nouvelle façon de vivre qui va ouvrir son imaginaire.

  • Tant d’histoires ont été vécues, se vivent et vont se vivre encore et encore. Elles nous nourrissent, sont nos raisons de vivre. Nous en avons tous. Celles qui paraissent normales et banales dans leur pays sont extraordinaires et interessantes pour l’étranger. Quelqu’un qui ose raconter sa vie routinière et tous les sentiments ou rêves refoulés, c’est une grande histoire, un témoignage qui peut ouvrir un nouveau chemin ensuite.

  • Les sociétés nous font courir et conduire à toute vitesse et de plus en plus vite, en ayant pourtant de moins en moins de temps.

    Et si nous marchions sur les routes ? Comme une soudaine respiration, une parenthèse, un recul sur nos vies et ce monde… Une marche sans but précis autre que de se laisser porter et guider par l’environnement et les évènements. Une marche qui médite et questionne tout et cherche la joie de l’instant présent.

  • Quand on a des connaissances fortes d’un domaine particulier, dans nos sociétés, on est tenté de les garder, les valoriser, gagner sa vie avec… Et donc de de garder des secrets ou faire valoir que c’est trop difficile à apprendre et demande de longues études. Beaucoup de gens aimeraient apprendre, oser essayer, pratiquer et auraient les capacités de le faire assez vite.

    Osons donner sans avoir peur de perdre un rôle ou une place reconnue.

    Bien des choses demandent de long apprentissages et beaucoup de gens pourraient se transformer en professeurs enseignants

    L’école peut se vivre partout et avec beaucoup de gens.

  • Les tensions et les guerres s’intensifient. l’énergie de l’enfer attaque de mille et une manière en nous et par l’extérieur. Entrainons nous à nous défendre et nous protéger spirituellement, émotionnellement, mais aussi physiquement en s’isolant, en quittant des lieux difficiles ou en créant de nouveaux lieux.

  • Prenons conscience de l’influence de chaque nourriture sur notre corps et nos émotions. réinventons des plats moins transformés, plus locaux, moins énergivore en fabrication et avec de belles vibrations lumineuses.

    Découvrons qu’on peut vivre mieux en mangeant moins pour les pays d’abondance.

    Cultivons des plantes, des fruitiers adaptés aux paysages, n’y a t’il pas déjà des plantes sauvages comestibles en abondance ?

    Partageons les repas dans de nouvelles belles ambiances.

    Apprécions les festins occasionnels tout comme la simplicité d’un seul fruit ou une seule carotte crue ou d’un bon riz nature.

    Des jeûnes de nourriture crue de nos jardins peut soigner bien des maladies ou obésités.

  • Reprenons confiance en nous dans nos capacités à se soigner, à s’entraider face à nos maladies entre amis et proches. Cumulons nos pensées créatrices positives avec les actes de médecine physique et psychique. Apprenons par exemple à soigner nos dents, en commençant par diminuer nos rages ou stress émotionnels, puis en apprenant à soigner nos caries tant qu’elles sont petites…

    L’autonomie va devenir de plus en plus nécessaire et beaucoup de gens y sont déjà contraints.

  • Sa propre vie, son entourage ou le monde en déclin sont terriblement dur à vivre, nous avons besoin d’accompagnement, de partage, de tendresse, de parenthèses… Peut être que nous n’avons pas la force d’accompagner mais sommes prêt à suivre si c’est proposé. Internet permet de créer les liens sans frontières et les gens peuvent se soutenir à distance, s’encourager de leurs actions mutuelles.

    Quand des gens ou un peuple se réveille, cela peut rayonner dans les autres pays.

    Savoir qu’il se passe de belles choses quelque part quand on vit un environnement difficile est une échappée dans l’imaginaire qui aide beaucoup.

  • Nous vivons des routines qui ne nous conviennent pas entièrement… A la fois nous voudrions que cela change, à la fois nous avons peur si un gros changement peut venir sans savoir où cela mène.

    Essayons des choses nouvelles : manger dehors, descendre une rivière à pied et à la nage, marcher sur de nouveaux sentiers, pourquoi pas la nuit, dans des campagnes tranquilles. Aller aider un voisin sans recherche d’intérêts autres que l’ouverture à la vie qui se déroule autour de nous, si près, et que nous ne connaissons pas.

  • Aimer des stars, des gens charismatiques est facile mais pousse souvent dans des égos ou des déconsidérations de soi-même.

    Aimer tous les gens, dans le sens de comprendre ce qu’ils sont et de souhaiter ou aider à trouver leur chemin lumineux est plus difficile.

    Il faudrait s’excuser et pardonner beaucoup, discerner et raconter nos souffrances, oser se révéler…

    S’approcher d’un amour universel qui ne juge pas dans l’apparence ou la connaissance partielle de l’histoire des âmes est difficile.

    Tout a eu des enchaînements de raisons d’être sur plusieurs vies, et même si on ne les connais pas, on peut savoir qu’il en est ainsi.

  • Il n’y a pas vraiment de lieux physiques ou géographiques qui incarne la pleine lumière harmonieuse… Elle peut se trouver en nous, même au sein d’un environnement éprouvant et sombre.

    Mais il existe quand même plein de lieux qui restent légers et serein, sans liens complexes avec les histoires humaines. Parfois, il sont tout près, dans le recoin d’un champ ou d’un petit ruisseau, sur une plage sauvage à marée basse, sur le toit d’un immeuble inoccupé, … Dans la lecture d’un livre ou l’écoute d’une histoire.

    Des lieux, des gens, des circonstances aident à cheminer vers notre lumière intérieure.

  • Paradoxalement, on se dépêche dans tous les sens pour gagner du temps et on en a de moins en moins. Nous pourrions jouer à marcher au ralenti, et découvrir tout ce qu’on ne voyait pas en allant vite. Prendre conscience de chaque instant présent qui ne se vit qu’une seule fois.

    Et même en allant vite physiquement, nous pouvons le vivre dans un état serein et lent intérieurement.

    Comment vivre le sentiment d’urgence avec l’idée de prendre le temps ?

    Nous pouvons déjà nous alléger d’un emploi du temps qui nous empêche de nous poser, de méditer, de savoir ce qu’on souhaite vraiment au fond de nous mêmes. N’attendons pas des autres d’en faire autant. Le vivre pour soi d’abord, même si on pense que c’est nécessaire pour beaucoup de gens.

    Puis certaines personnes vont vite choisir, bouger, d’autres auront besoin de temps.

  • Des méditations, des intuitions profondes, des rêves, des envies, tout cela nous guide sur la découverte et la personnalité de notre âme, “l’autre soi-même”. Ces plongeons intérieurs peuvent nous amèner à rencontrer nos souffrances et leur source, nos vies passées plus ou moins nombreuses.

    Connaitre son âme, c’est comme une révélation intérieur, une possibilité de tout comprendre son cheminement et de tisser une grande complicité avec elle.

  • L’énergie d’amour est devenue très cloisonnée et trop peu donnée ou reçue. Le doute, les ambiguïtés amènent la méfiance, le refoulement entraine l’aigreur qui fini par ne plus vouloir d’amour ou y croire.

    Comment faire pour donner et recevoir des câlins en étant sûr que cela restera simple et lumineux sans complications ou attentes.

    Il faudrait réapprendre à donner et recevoir. S’entraider, le faire dans de chouettes ambiances public pour se protéger de déviances possibles.

    Sans doute pouvons nous simplement ouvrir la parole pour commencer.

  • Nous savons bien que beaucoup de gens cachent des vérités qui seraient si précieuses à révéler, parfois à des échelles de populations entière.

    Elles pourraient être si scandaleuses qu’elles se cachent depuis longtemps derrière des omissions ou des mensonges. La terreur des représailles pousse à clore la parole pour ceux et celles qui hésitent à tout livrer.

    Si nous étions dans une énergie de pardon à l’avance, cela aiderait à délier les langues.

    Les vérités sont cachées derrières des carapaces sombres qui s’affaiblissent par la force d’amour.

    Les prières cumulées peuvent envoyer cet amour.

    La haine ne fait que renforcer les carapaces.

  • Tous nos mouvements du corps et nos déplacements dans l’espace public sont souvent contenus, définis, normalisés, balisés, banalisés et danser librement dehors comme des enfants joyeux peut être vraiment libérateur.

  • Comme les voitures sont devenues sérieuses, quelconques et grises ou bien arrogantes voire agressives ! Ce serait chouette de nouvelles formes, plus ouvertes, plus colorées, plus lentes, plus polyvalentes… En attendant de trouver l’imaginaire, on peut commencer par les peindre !

  • Parcourons le monde avant son déclin , dans un ultime regard aimant, fasciné de sa diversité, de sa complexité, comme l’oeuvre d’un plan divin complètement fou. Construisons des maisons roulantes, fourgons, roulottes, caravanes originales, des bateaux en tout genre.

    Arpentons les terres et océans.

  • A l’image du sport du “Parkour” qui joue des barrières, des murs et des toits qui nous cloisonnent, nous pouvons découvrir et franchir toutes nos barrières intérieures qui nous bloquent un chemin lumineux.

 

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