Croire en un Dieu, en la Terre Mère, croire en des êtres invisibles, croire en plusieurs consciences en nous mêmes, croire à l’apocalypse, au grand basculement…
Ça fait beaucoup !
Beaucoup de gens n’avaient pas besoin de tout ça pour se sentir bien et avoir suffisamment de choses à faire et à penser !
Voilà qui témoigne que la création de consciences accrochées à la matière fonctionne bien. l’Athéisme fait parti du plan divin…
Paradoxalement, c’est là que ce trouve le plus grand miracle. L’être humain avec ses capacités, ses limites, son système d’imbrications de consciences et ses épreuves est une œuvre vivante très utile et aboutie. Les athées heureux sont bien aimés.
À côté de cela, les pouvoirs de l’invisible sont en fait communs et connus depuis le début de tous les mondes. Il n’y a rien de miraculeux dans ceux là.
Tout s’est inversé : Le normal (monde de lumière) est devenu miracle et le miracle (monde physique animé) est devenu normal !
Comment s’ouvrir à l’invisible ?
En lisant et écoutant plein de témoignages.
En essayant soi-même quelques demandes d’aides ou de réponses avec des signes ou des procédés avec du hasard selon le mental.
En méditant… C’est à dire, laisser venir des images ou pensées ne venant pas du mental, comme les rêves et intuitions.
En essayant des choses nouvelles : se mettre en route, partir à l’aventure vers l’inconnu, sans trop de projections, en jouant le jeu de suivre ce qui se passe et se propose…. Attention alors : les mauvais esprits sont aussi des guides potentiels.
Comment croire aux démons ? Bien des gens mènent une vie tempérée où l’idée de démons quelque part semble nettement exagéré. Tout comme l’idée d’anges quelque part.
Mais en fait, le mental adulte s’est souvent habitué à tempérer ses émotions : trop de joie met en peine ses souffrances, trop de souffrances mettent en peine sa joie.
Alors il y a une sorte de grisaille émotionnelle ambiante qui ressort inconsciemment dans la perte de couleur du quotidien : voiture grises, objets gris, béton gris… on est loin de l’univers coloré des enfants !
Après, ne pas croire à l’invisible n’est pas grave en soit, d’autant plus si on est bienveillant, généreux, accueillant, chaleureux envers la vie et les humains.
La connaissance et la découverte de l’invisible n’est pas une clef du bonheur en soit.
Mais quand vient la mort physique parmi les proches, ou la guerre ou l’extinction galopante de la vie, la compréhension de l’invisible et du plan général divin peu beaucoup apaiser et ramener l’espoir.