Athéïsme
Le fait de ne pas croire en Dieu ou déesse ou djinn ou tout être spirituel, même s’ils existent, n’est pas forcément un pêcher ou une faute. Ni le fait de ne pas prier.
Ce qui compte, c’est d’être en joie, créatif et de grandir en surmontant plein d’épreuves.
L’athée heureux est même une réjouissance du point de vue du grand esprit, car il peut observer des histoires, des enthousiasmes, sans qu’on ait besoin de lui. Comme des parents qui aiment voir leur enfants devenus autonomes dans l’œuvre de leur vie.
Mais souvent, l’athée perd ses moyens face à la mort ou des circonstances non explicables, il lui échappe du bout des lèvres un appel à l’aide et le jeu des signes peut commencer s’il n’y est pas totalement fermé.
Dans ces derniers temps de plus en plus chaotiques de ce monde, la simple voix de la raison ne sera plus suffisante pour comprendre ce qui se passe. Les religions vont rebondir d’ardeur mais aussi d’arrogance…
Ce n’est pas parce qu’on prie que le cœur est bon
Ce n’est pas parce qu’on ne prie pas que le cœur est mauvais.
Et vice et versa.
L’insouciance naturel de l’enfant et sa curiosité à tout sont de bons chemins.
les actes dévoués de gens athées pour aider les humains et la vie sont très lumineux.
Ceci dit, la prière, communication consciente avec l’invisible, accompagne les âmes, ouvre des possibilités d’aides…
Il n’y a pas de religion ou de sciences à rejeter entièrement, il faut suivre la clef qui les relie tous.