Tout est juste
Les explications données par ce livre permettent de comprendre la diversité humaine et les choix de vie qui paraissent souvent opposés…
En fait tout peut se comprendre et a sa part de légitimité, de justesse :
Des peuples racines sont vrais dans leur connaissances et liens sacrés avec leurs habitats naturels.
L’aérospatial sert le plan divin de l’élaboration de technologies pour aller dans l’espace.
Des religieux gardent la mémoire des grands messages divin et prient pour des libérations.
Des athées heureux témoignent de la possibilité de bien vivre dans l’inconscience de l’invisible.
Le voile des femmes musulmane est une juste métaphore de l’énergie solaire masculine éprouvante qui les couvre (énergie de l’enfer).
La femme rebelle ou féministe est légitime dans son combat pour une équité homme femme.
Le militaire tente de combattre des ennemis ou de défendre la paix et il y en a bien dans l’invisible.
L’écologiste est juste dans son combat de protection de la nature et de la vie en déclin.
Le consommateur normal fataliste peut se comprendre dans une résignation au monde qui s’éteint.
Le révolté qui manifeste et combat les sociétés est légitime dans ce monde très éprouvé, trop et mal réglementé.
L’ouvrier de toutes entreprises est au service des expériences de la création avec la matière.
La nature est sacrifiée pour servir l’expérience matérialiste.
l’illuminé peut recevoir de réelles visions.
Les guérisseurs ont de réelles aides d’âmes invisibles.
Les médecins matérialistes ont développé des aptitudes avec la considération mécanique du corps.
Des règles et les lois tentent de maitriser les mauvais actes des humains.
Des gens se mettent en dehors des lois devenues trop oppressantes.
Tous les humains sont soumis au mal être et à la division dans leur histoire à cause de la matrice de l’enfer.
Il est légitime de chercher, d’être en colère, de prier, d’attaquer, de se défendre, de croire, de ne plus croire, d’être triste, d’avoir peur, de devenir fou, de chercher à faire le vide dans sa tête, d’essayer de vivre bien sans se préoccuper du reste du monde, d’aimer la vie, de se préoccuper du monde, d’être angoissé des temps prochains, d’en vouloir à la vie, à Dieu…
Les humains ne savaient pas ce qu’ils vivaient, ce qu’il faisaient. Il faudrait d’infinies impossibles grandes excuses…