Le diable

Existe-t’il une conscience suprême de l’enfer ?

Tout ce que les humains imaginent et nomment sont inspirés de réalités du monde invisible, ou bien finissent par exister dans le monde invisible.

Si un très grand nombre d’humains croient au diable depuis longtemps, alors il existe depuis longtemps.

Tout le chemin du diable et des démons et de l’enfer en général s’oppose à celui des anges, de la Terre Mère, des esprits de la nature et de la partie positive de Dieu.

Le diable jubile quand les humains agonisent, ne croient plus en rien, se détestent et détruisent le vivant.

Il se nourrit abondamment aussi de la haine, de la colère et de la peur et de l’admiration malsaine qu’on lui renvoie.

Dans une épreuve humaine, plus la souffrance ou le supplice sont long, plus la terreur vécue est renvoyée et décuple ses pouvoirs… À moins que l’on résiste et garde la lueur de son cœur…

Si le diable et le monde de l’enfer était seuls maîtres de la vie incarné, cela mènerait à l’extinction de tout.

C’est l’énergie du serpent qui se mord la queue.

Les guerriers remplis de haine de deux camps ennemis sont en fait dans le même camp du point de vue de la fréquence de lumière. Ils vibrent tout deux dans les fréquences intenses des rayons X. Cette intensité se lie bien sur les visages et dans la force d’action, le plaisir de nuire, c’est une grande force !

Le tortionnaire et le torturé peuvent être aussi dans le même camp du point de vue des vibrations lumineuses : l’intensité de la terreur nourrit celle de terroriser.

Le diable cherche les consciences faibles qui vont sombrer dans ses vibrations grâce à l’horreur qu’il orchestre. Mais qui peut se dire fort et infaillible ? Il peut toujours exister des épreuves trop dures à supporter.

En cette fin de monde, 1/3 de la force énergétique du Soleil est alloué à l’enfer… C’est très puissant ! Il reste 2/3 pour résister, transcender.

Il n’est pas toujours facile de discerner l’énergie de l’enfer d’énergies positives dans des contextes calmes. Pourtant, la dualité est toujours là, dans nos inconsciences, et chaque partie essaye de faire basculer les événements de son côté.

Le diable n’a pas qu’un seul visage, il est libre de forme comme toutes consciences dans la lumière.

Cependant, l’imaginaire des humains à défini des formes et parfois nous pouvons lire des traits de visage qui s’en rapproche mais c’est un jeu subtil qui peut être trompeur.

Parfois, le monde entier croit et désigne quelqu’un comme le mal absolu. Leurs pensées créatrices, si elles sont remplies de haine ou d’effroi envoient toute la puissance de l’enfer vers cette personne qui jouit alors d’une grande extase maléfique. Sans le comprendre, les humains poussent alors la personne à agir pour le mal puissamment et jusqu’au bout et parfois inconsciemment !!!

Le diable déteste être pardonné ou accepté ou aimé… Dans le sens d’une vraie vibration positive. Cela le fatigue, le rend malade et le fait fuir.

Comment peut on aimer positivement le diable ou un démon ? Il ne s’agit pas d’apprécier ce qu’il fait, mais de comprendre qu’il ne peut-être autrement. Parfois les gens transcendent sa vibration en eux-mêmes, comme un miracle et deviennent alors plus forts, ils grandissent et sont fiers d’eux-mêmes. Ils peuvent alors aimer avoir reçu cette épreuve et l’ennemi intérieur.

Si cela vous va, on est bon pour l’épreuve suivante alors ?

Bon, ça suffit, il est temps de changer de jeu… Adieu le diable et son enfer !

La compréhension va ramener beaucoup de force et de foi, mais l’enfer, dans le stress de sa fin imminente va se déchaîner jusqu’au bout.